LES NOEUDS 

Les liens vers les noeuds existent mais toutes les images ne sont pas en place.
Je vous prie de m'excuser du delai.

C'est parti pour la technique "noeutesque", pardon du matelotage.

Tout d'abord, il faut bien savoir que le noeud (sans sous-entendu) pour le marin, qu'il soit à voile ou à moteur(même remarque que précédemment) , est indispensable. Il est pour lui le seul moyen d'arriver à bon port et d'y rester (au port !) .

Voyons donc, pour commencer, les doux noms de ces noeuds propices au voyage : le cul de porc, la tête d'alouette, le noeud en huit, le noeud de pêcheurs, le noeud de vache, le noeud de gueule de raie, le noeud de jambe de chien, le noeud de pendu, pour les plus évacateurs.

chaque noeud a une fonction, on les classe en 4 catégories: les noeuds d'arrêt, les noeuds d'ajut, les noeuds d'amarrage et (la classique) les noeuds divers (faisables en été ;-) ).

Les noeuds d'arrêt :

Comme leur nom l'indique, ils permettent de bloquer l'usure du cordage ou le cordage lui même dans son déplacement. Nous avons ainsi : le noeud en huit , le noeud de porc, le noeud d'alouette, le demi-noeud, la surliure...

Les noeuds d'ajut:

Eux permettent l'ajout d'un cordage à un autre. Cela se nommait d'antan l'ajut. Nous avons ainsi : le noeud plat, le noeud de pêcheur, le noeud d'écoute, le noeud d'agui ...

Les noeuds d'amarrage :

Ils nous permettent de relier un cordage à un autre élément (anneaux ou bite d'amarrage ...) . Nous avons ainsi : le noeud de cabestan, le noeud de chaise ...

Les divers :

Ils sont plutôt d'une utilisation plus folklorique ou esthétique, mais sait-on jamais... Nous avons donc : le noeud de gueule de raie, le noeud de plein poing, le noeud de jambe de chien, la boucle de harnais, le noeud de pendu...

Le matelotage assure également l'occupation à bord par temps calme ou les soirées un peu longues avec la pomme de touline, l'échelle de coupée et le paillasson.